Incontestablement, la marge de manœuvre de la diplomatie algérienne se renforce et l’Algérie s’affirme de plus en plus sur la scène internationale, grâce à la stratégie diplomatique du président Abdelmadjid Tebboune.
Aussitôt élu à la magistrature suprême en décembre 2019, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis en place une nouvelle politique étrangère offensive, pour mettre fin à l’inaction de l’appareil diplomatique.
Le président de la République, conscient des défis et des opportunités de notre époque à saisir, a mis en œuvre sa stratégie diplomatique tout en expliquant les priorités de la politique étrangère de l’Algérie. Après son élection à la tête du pays, le président Tebboune s’est engagé à jouer à fond la carte de la diplomatie.
L’Algérie, célèbre pour sa politique de non-alignement et de son indépendance, se devait de retrouver son rayonnement international.
Diplomatie : le grand retour de l’Algérie
Pour le chef de l’Etat, les choses sont claires. L’Algérie doit avoir une très forte visibilité sur la scène internationale, et elle se transforme en profondeur pour être encore plus puissante dans le monde.
Plus de trois ans après l’élection du président Tebboune, la stratégie diplomatique de l’Algérie a porté ses fruits. Le leadership et les percées diplomatiques algériennes sont importants. C’est ce que disent au président de la République ses différents interlocuteurs et les amis de l’Algérie : « Nous sommes heureux et rassurés que vous soyez de retour ».
Que cela plaise ou non, l’Algérie a signé son grand retour sur la scène internationale. Le principe constant d’indépendance de l’Algérie a payé. « Les Algériens sont nés libres et le resteront dans leurs décisions et leur comportement », a déclaré le président Tebboune au Forum de Saint-Pétersbourg en Russie vendredi 16 juin dernier, pour rappeler l’attachement de l’Algérie à son indépendance décisionnelle.
Le continent africain, le monde arabe et les non-alignés observent l’Algérie avec un regard neuf, contrairement au Maroc qui a vendu son âme au diable. Cette monarchie médiévale, qui fait honte au continent et à la nation arabe avec sa diplomatie de l’à-plat-ventrisme, ne peut prétendre rivaliser avec la grande Algérie, qui a décidé d’une politique étrangère d’abord pour son peuple. Un peuple qui est fier de vivre dans une Algérie libre, forte, juste et qui est sur la bonne voie de l’émergence.