Tribune. Louis Sarkoy, rejeton de Nicolas, qui se présente comme « essayiste », s’essaie à tout. Dans une de ses nombreuses sorties confondantes, il dira : « si tu es seul chez toi et que tu prends de la cocaïne ou de la méthamphétamine tu ne fais de mal à personne ». L’inconvénient est que dès qu’il s’aventure à parler de l’Algérie, il y’a abus…

Surnommé par les journalistes Français, le « Toutologue », parce qu’il sait tout sur tout, l’éditorialiste le plus pistonné de la télévision française (il officie sur la chaîne LCI qui appartient à son parrain, Martin Bouygues), n’en est pas à son coup d’essai.

C’est à son esprit brumeux qu’on doit cette phrase sortie de nulle part : « « si j’étais aux manettes et que l’Algérie arrêtait Sansal, je brûlerais l’ambassade, je stopperais tous les visas et j’augmenterais de 150 % les tarifs douaniers ». Depuis l’ambassade d’Algérie a déposé plainte même si la partie civile devrait demander l’enfermement.

D’ailleurs, l’enfermement, c’est ce qui plane sur son géniteur, Nicolas Sarkozy, surnommé, lui « bracelet électronique », et qui risque jusqu’à 7 ans de prison dans l’affaire des « millions d’euros de Kadhafi ».

Entre le risque de l’enfermement carcéral du père et l’enfermement psychiatrique du fils, l’arbre généalogique des Sarkozy est sur le point de s’éteindre. Même si le très jeune Louis aspire à reprendre la carrière chaotique de son père.

Sauf que le petit Louis a hérité des réseaux mais aussi de l’indécence de son père. Il s’est spécialisé dans les inepties sur l’Algérie, son peuple et ses institutions légitimes, n’arrivant même pas à comprendre comment les Algériens soutiennent leur président, démocratiquement élu et brillamment réélu, un président qui force le respect à travers le monde.

Louis Sarkozy et ses envies de brûler l’ambassade d’Algérie à Paris

Il est vrai qu’en termes de réélection, Louis Sarkozy ne peut pas prendre son père comme référence. Contrairement au Président de la République Algérienne, son père, honni par les français, a échoué là ou tous ses prédécesseurs ont été réélu.

Nicolas Sarkozy a été congédié après un premier mandat calamiteux, et n’a même pas été capable de remporter une primaire De droite, pour se présenter à une présidentielle.

Car pour ceux qui ne le savent pas, Louis Sarkozy est un « pistonné ». Petit fils à maman, Cécilia Attias alias « Reviens », qui couve sa carrière, il n’a même pas été fichu d’intégrer le lycée Français, Charles de Gaulle, qu’après l’intervention de son père.

S’en est suivi une série de pistonnage dans les écoles militaires américaines jusqu’à un poste de diplomate à l’ambassade de France à Washington en 2020. Une carrière qui rendrait fier son père. Tel père, tel fils.

Revenu en France, il devient ami de Bruno Retailleau qui couve politiquement le petit Sarkozy, a été l’amant éphémère de la girouette Sarah Knafo, se fait conseiller par Marine le Pen et Eric Ciotti, et fréquente aussi Xavier Driencourt, qui malgré sa haine primaire de l’Algérie, a fini par reconnaître que les Algériens aiment le président Tebboune, et qu’il y a une union sacrée autour de lui.

C’est dire qu’en termes de « cliques », celle de Louis Sarkozy respire le napalm et l’OAS…jusqu’à ses envies de plastiquer l’ambassade d’Algérie à Paris ! ce qui est en somme logique pour une barbouzette.

De ce côté-ci de la Méditerranée, où l’on observe la descente aux abîmes d’une partie de la classe politique française avec un certain amusement, on s’interroge, néanmoins, pourquoi le petit Louis ne s’occupe pas un peu de sa famille.

Sa petite sœur de 13 ans est en train de lui voler la vedette sur Tiktok en balançant ses vérités sur les relations de son papa avec Kadhafi. On dit bien que la vérité sort de la bouche des enfants.

Louis Sarkozy qui dit avoir rédigé un livre sur Napoléon (personne n’a vérifié) a dû rater cette formule de Bonaparte : « Du sublime au ridicule, il n’y a qu’un pas ». Ce pas, le petit Louis l’a franchi allégrement concernant l’Algérie. Mais notre Nation est magnanime. On sait que le rejeton de Nicolas, veut se faire les dents sur notre pays, mais s’il a encore des dents de lait en politique.

L’Algérie a vu grandir et périr beaucoup d’hommes politiques français. Avec beaucoup plus de références que le Petit Louis qui cherche sa maturité dans les imbécilités qu’il profère. Le petit Louis se cherche une virilité. Même face à l’Algérie. Il faut soigner ses névroses et se karcheriser.

*Ancien haut cadre à la retraite